Saskia, Jiro, et leurs copains

De la neige jusqu'au ventre, humains et chiens confondus!

Sans monter bien haut, ici vers 1200m d'altitude:














un chalet vers 1270m:








le passage critique, ne pas tomber dans la rivière:














la ferme de la Cuva:




la chenillette ouvre la piste du Vuipay:

Dernier jour de belle neige de l'année...

Une route blanche, comme elles devraient toutes être en Hiver:


il faut décharger les toits avant la neige lourde et la pluie annoncée, sans répit,
pour ces prochains jours:


on contemple le paysage pour une dernière fois en cette année 2017:




les mâles jouent aux loups:


le ciel devient laiteux, mais le jour blanc n'est pas trop gênant en yooner:


la première forte rafale dépouille ces sapins de leur manteau neigeux:


puis la poudrerie nous enveloppe brusquement:


une nouvelle tempête arrive... il faut rentrer.

Neige chaude et printemps en plaine:

avec +3°C au parc, à 1150m d'altitude, on est bien loin de la qualité de la neige
du 29 décembre, conservée à -15° après une nuit étoilée, glaciale! 

après deux jours de disette, les petits loups savourent cette saupoudrée:






la nouvelle tempête, appelée Carmen, balaie déjà la neige des sommets,
après avoir gâché ce premier jour de 2018 sur une partie de la France:


l'accalmie, avant les vents annoncés à plus de 150km/h sur les crêtes alpines,
a permis à des enfants de construire, un peu facilement, un "iglou" sous cette table:

mais vont-ils pouvoir y revenir s'y protéger plus tard??
de la neige humide devrait retomber en quantité, qui pourrait tout recouvrir...
hélas, de la pluie est prévue dans deux jours, alors qu'il faudrait du froid...

Un jour de bonne neige, poudreuse en surface, dont il fallait
profiter au maximum, et encore un nouveau tour pour Doudou et Nusky;
plus de 4 heures à brasser la neige en cherchant les traces d'hier pour
ne pas trop enfoncer!



au fond, la plaine n'a pas vraiment reblanchi, même s'il fait
un peu moins chaud qu'hier:


vers 1200m d'altitude, il y a trop de neige pour sortir des routes:


Nusky interrompt le "roule-neige" de Saskia:


Saskia va devant:


voici un refuge bien abrité:


mais où est donc ce Chien:


l'oiseau en bois agrippé au tronc ressemble bien à un pic tridactile:

sans les couleurs naturelles, difficile de le savoir, peut-être que mon frère
arrivera à savoir de quelle espèce de pic il s'agit... je ne vais pas grimper
là-haut pour compter ses doigts!

nom d'un Chien, on entre dans une réserve:

les deux pics du panneau n'aident pas à la détermination précise de l'oiseau en bois!

après la forêt, un grand pâturage entoure un refuge plutôt inaccessible:




de nouveau, ce ciel laiteux annonçant le mauvais temps:


ici, on devine des panneaux solaires sur la terrasse d'un chalet d'alpage:


tandis que le chat de la buvette (fermée) nous observe attentivement:

Printemps ou fin d'automne?



le village de St-Saphorin devant le lac Léman, à quelques km de Vevey:




Bel environnement pour le repos de mes petits loups:

Enfin une nuit de gel suffisant après la saupoudrée:
3 heures de marche dans cette petite neige recouvrant l'horrible
couche durcie et croûtée, mais sans enfoncer; cette fois, dans le Jura.

Le Mont Blanc au loin et l'inévitable couche de nuages bas qui masque le lac:


il ne fallait pas se trouver ici le 3 janvier dernier:


pour une fois que les 4 louloups sont bien placés, la photo est mal cadrée:


un nouvel essai:


c'est comme en mars à 1500m d'altitude:


des nuages élevés apparaissent au sud-ouest, peut-être bientôt de la nouvelle neige...

Pauvres iglous, qui ont souffert de la chaleur:


Et c'est de nouveau la tempête, abattant les arbres fragilisés:


Demi-tour, cette neige roulée, en grains, pique les yeux des petits loups:


et nous force à abréger la sortie, aussi par peur de recevoir un arbre cassé par le vent...
pas de record ici, c'est en Corse que les vents ont dépassé les 220km/h,
un record absolu pour le moment...

Neige collante à 1200m d'altitude, toujours pas de froid:

Pour trouver de la bonne neige aujourd'hui, les petits loups ont été transportés
de Vevey à La Fouly, au val Ferret, soit une bonne heure de route pour du bonheur:

Une matinée hivernale vers 1200m d'altitude...

Bonne surprise, inutile d'aller aussi loin qu'hier pour trouver de la belle neige,
le bonheur est à moins de 20 min de route:




la mauvaise surprise est de trouver nos itinéraires favoris dévastés par les tempêtes:


et une neige presque aussi profonde qu'à La Fouly, dépassant la barrière du pont:




au moins, les petits loups enfoncent moins que les bipèdes:


Nusky est heureux ici:


à nouveau, la route semble bien barrée:


Saskia et Jiro ayant réussi à passer, Nusky et Doudou sortent enfin de ce passage:




mais le problème le plus difficile est un peu plus loin: où se trouve la route?


et par comble de malchance, une nouvelle tempête arrive,
menaçant d'abattre les sapins déjà fragilisés par une série de tempêtes dévastatrices:


les petits loups semblent inconscients du danger:


puis c'est le parcours du combattant pour traverser cette zone dévastée;
après Saskia et Jiro, arrivent Doudou et Nusky, heureux de vivre une nouvelle aventure:


ouf, on aurait été mal pris dans ces rafales qui forment maintenant d'énormes congères:


et incitent les skieurs à rentrer au plus vite:


Une nouvelle alerte rouge pour tempête et fortes chutes de neige,
avec avalanches, vient d'entrer en vigueur:


ça souffle déjà à 130km/h sur les crêtes du Jura et ce n'est que le début
des nouvelles intempéries, avec des vents de plus de 150km/h en altitude ...

Aujourd'hui, de la neige humide dans le Jura, à 1450m d'altitude,
où la forêt semble épargnée par cette série de tempêtes:

Après la pluie et les inondations, il a enfin reneigé dans le Jura,
ça valait le déplacement car rien n'est tombé dans les Préalpes de ma région.

En manque de neige depuis le 21 janvier, les petits loups sont surexcités:








la route du col du Marchairuz passe juste à côté, comme une tranchée:


il n'y a pas d'autre choix que d'utiliser cette piste damée pour tous:


mais la boucle ne dépasse guère 3km:


d'autres chiens arrivent en sens inverse:


et la rencontre se passe bien:










jusqu'au moment où Saskia s'échappe:


mais elle revient vite vers ses copains:


le soleil a de la peine à percer la couche de stratus:




pour trouver le grand soleil, il fallait monter au moins à 1600m d'altitude,
comme le montre cette vue depuis le sommet du Moléson, vers 2000m:

La crue de la Seine commence à se stabiliser, avant de décroître...

Dans les Préalpes, la neige a beaucoup souffert du chaud:


même s'il en reste encore pas mal, on se croirait en avril:

Début d'un second hiver, après ce mois de janvier complètement pourri.

Les Paccots, 1200m d'altitude:


Belle averse de neige, -2°C:






"roule-neige" de Saskia et "secoue-neige" de Jiro:








le pauvre pont, que nous devions franchir, a reçu un sapin:


le 28 décembre dernier, nous avions passé sur ce même pont, vu de l'autre côté,
faisant le tour en sens inverse:


30cm de nouvelle neige recouvrent l'ancienne:






le froid, devant s'intensifier ces prochains jours, va enfin conserver cette belle neige:

Les 4 petits loups ensemble aux Pléiades:

Aujourd'hui, de la très bonne neige dans le Jura:














après deux heures de marche pénible, les premières traces apparaissent,
car nous nous rapprochons du parc, au sud du col du Marchairuz,
et je décide de détacher Jiro pour rencontrer cette gentille jeune chienne:










entre Nusky et Jiro, difficile de choisir:


Saskia s'est bien entendue avec elle:


pas de problème pour récupérer Jiro, que ferait-il sans ses copains?

Conditions idéales pour faire courir les chiens:

Encore de la course aujourd'hui, mais avec le grand soleil...

Vers 1500m d'altitude, Nusky et Jiro apprécient cette neige magnifique:








puis c'est la course sur la piste de raquettes menant au restaurant:








pendant la dégustation de l'excellente fondue au vacherin, la neige s'est humidifiée
en plein soleil et il fait un peu chaud pour courir à fond, donc des pauses sont nécessaires
lors de cette descente en plusieurs parties:






les deux mâles retrouvent leurs compagnes:


en effet, Nusky est beaucoup plus motivé à rejoindre les chiennes;
après avoir attendu qu'elles aient pris un peu d'avance, c'est reparti:






me voici sur le yooner:


la pause se fait toujours près de cette ferme à mi-pente:


Nusky se laisse tomber dans la neige, comme le font les skieurs de fond après une course:


Saskia a repris la place de Nusky pour courir quelques centaines de mètres,
jusqu'à la voiture.

De la neige bien froide en montagne:




pas de descente en yooner, itinéraire presque plat, mais beaucoup de jeux
et d'exploration des alpages sous un beau manteau blanc:

Changement de décor le lendemain, aux Paccots, où le brouillard a givré les arbres,
alors que le soleil brillait dans les Alpes:












une écharpe blanche:

Une nuit bien froide:


suivie d'une magnifique journée de neige, entre Leysin et Les Mosses,
très probablement la meilleure neige de l'hiver:


des glaçons aussi grands que les sapins se sont formés contre la falaise:


voici cette fameuse Pierre du Moëllé (altitude 1684m), faisant obstacle au col éponyme (1661m):


le Mont d'Or (2175m):


le restaurant est fermé en hiver:


le voici ouvert, un certain 16 mai 2014:


nous montons quelques mètres pour la vue côté nord:




le Mont d'Or se prolonge vers la gauche de l'image par une arête rocheuse
jusqu'au Gros Van (2189m), l'un des sommets qui dominent Les Mosses:


la route militaire est ouverte jusqu'ici, côté lac de l'Hongrin, et la fraiseuse arrive:








le restaurant est accessible uniquement pour l'armée suisse;
quelle débauche de moyens pour ouvrir ces murs de 3 à 4m de neige compacte:


nous visitons les lieux:






puis entamons la descente vers La Comballaz, face aux Dents du Midi (3257m)
et au Mont Blanc (4808m), mais le plus haut sommet des Alpes est trop loin
pour être impressionnant:


on aperçoit aussi, plus à gauche, les Drus, l'Aiguille Verte (4122m) etc,:


la ferme d'alpage est inaccessible, même de ce côté: 


la Tour de Famelon atteint 2138m:


vue depuis le sud, elle ressemble à un chien couché:


plus bas, ce chalet est habité:




voilà sa façade ensoleillée:


il porte un nom d'oiseau:

La fameuse passerelle...
 
Après 3 jours de pluie et une saupoudrée, quel désastre:


infranchissable pour les bipèdes sans crampons,
la neige ayant regelé pendant la nuit, c'est presque de la glace:


heureusement, avec une bonne pelle et une scie, on a tout prévu:
il faut commencer par couper les deux branches qui ont été poussées
sur la passerelle par l'arbre abattu lors de la tempête Eleanor du 3 janvier
et faire patienter les petits loups pendant l'opération:




le 1.12.2017, les deux branches gênaient moins:


le 28.12.2017, c'est la hauteur de la couche de neige qui nous rapprochait de ces branches;
on avait pu quand même passer, cette fois dans l'autre sens:


les deux épisodes pluvieux de janvier 2018 ont rendu ce passage périlleux
avec des chiens fougueux tenus en laisse:


c'était particulièrement acrobatique ce jour-là...
des raquetteurs avaient approché le pont, puis fait demi-tour:


Saskia, Jiro et Doudou ont passé dès que les branches ont été coupées:


pendant que j'ai taillé ces marches en vue d'un passage futur,
Nusky, trop agité, a dû franchir la rivière plus bas:


voilà le résultat:


impossible de tout dégager et je récupère mon matos:


j'ai laissé, accrochée à une branche cassée, la petite pelle rose pour dégager la neige fraîche
qui devrait retomber avant le printemps: en effet, ce passage est important dans notre région,
où il ne reste pas beaucoup de boucles pour promener les chiens sans rencontrer des chemins
obstrués par des sapins abattus... en espérant que ce jouet de mon enfance ne disparaîtra pas:


la pelle noire pliable est récupérée, plus efficace dans la neige dure:


après une bonne soupe de chalet, un nouveau tour pour fatiguer les louloups:


le soleil printanier:

ne devrait pas durer ces prochains jours, un peu de froid est annoncé,
avec très probablement du brouillard givrant...

La neige dure va rester avec le froid annoncé et ne risque pas de s'envoler!
J'espère que le brouillard tenace à moyenne altitude va nous offrir des superbes
paysages givrés ces prochains jours.

Aujourd'hui, encore une passerelle inutilisable:


pas la peine de la dégager, la glace est encore plus dure qu'hier;
ce n'est pas une sinécure de franchir ces murs de vieille neige:


la pluie a emporté la neige le long des ruisseaux:


enfin un pont assez large:




de retour à Vevey, qui n'a plus connu de véritable hiver depuis janvier 2017,
le printemps est déjà bien installé:

Maintenant le soleil printanier a déserté ma région, c'est le retour de la grisaille;
pour retrouver Jean Rosset, désignant le soleil vaudois (peut-être pas seulement?):
https://www.youtube.com/watch?v=2ojiOIDPBxY
il faudrait grimper au-dessus de 2000m d'altitude!

Le froid humide est propice au givre, comme prévu:












et demain j'espère amener des images plus impressionnantes de givre...

Comme annoncé, après 24 heures de brouillard supplémentaire, c'est encore mieux!

le point de départ, vers 1200m d'altitude:














un portrait de ma Saskia:


vers 1400m:






Saskia grignote le givre sur le tronc:




je décroche le yooner de mon sac et c'est parti pour la descente:


pause, Nusky, surexcité, attend les chiennes avant de repartir:

Le soleil apparaît dès 1400m d'altitude, avec une ambiance neigeuse extraordinaire:

une belle congère apparaît dans cette ambiance cotonneuse:


ainsi que la crête ouest du Moléson:


encore une ferme ensevelie sous la neige:


Saskia et Jiro sur son toit:


un paysage qui se mérite, après plus de 2 heures de marche:










attention, ce ruisseau a creusé un trou très profond: